Ce ne sera pas si simple, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ».

Il est des romans qui traînent sur les étagères quelque temps avant qu’on ose enfin le prendre en main, pas trop sûr de ce que l’on va y trouver, mais pour lesquels le moment est venu. La situation peut tout à fait se transposer aux méandres de mon disque dur, et c’est ainsi que j’ai trébuché sur la version numérique de Ce ne sera pas si simple, d’Annie l’Italien aux Éditions Druide. Oui, l’éditeur du logiciel d’aide à l’écriture Antidote a depuis quelques années déjà publié des livres, et j’avais reçu celui-ci à l’occasion d’une mise à jour de ce fidèle compagnon d’écriture.

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Les Larmes du dragon – Avis de lecture

Les larmes du dragon

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »

Chacun sait ce qu’il attend d’un bon livre. Il lui suffit de prendre un ouvrage en main, de laisser ses yeux le parcourir, son esprit, vagabonder, pour rapidement déclarer que tel ou tel roman est bon. De temps à autre, l’humilité nous rattrape et l’on se corrige, le déclarant à notre goût.Je me souviens de l’un de mes professeurs d’arts plastiques qui citait soi-disant un grand peintre et nous rabâchait que voir, ça s’apprend. J’avais surtout vu qu’il adorait le chocolat, et c’est sans doute ce qui permettait à mes notes de ne pas sombrer trop bas sous la moyenne. Bref, si voir s’apprend, lire aussi. C’est pourquoi je m’amuse à dénicher des œuvres que j’estime expérimentales. Il peut s’agir d’essais comme de brèves ou longues histoires. Elles peuvent surgir au détour d’un forum d’écriture ou dans les rayonnages d’œuvres numériques autoéditées. En revanche, on ne les trouve pas chez les éditeurs dignes de ce nom, car leur travail consiste à parfaire des ouvrages, non à tenter des procédés souvent bancals.

C’est à l’occasion de l’une de ces flâneries que j’ai trébuché sur les Larmes du dragon, de Ghaan Ima. L’auteure s’inspire des mangas (japonais), et je voulais voir dans quelle mesure elle avait tenté ou réussi à transposer ces univers particuliers à la littérature. M’étant moi-même frotté au sujet dans un bref essai qui croisait Hunter x Hunter et Fairy Tail, je me doutais de la difficulté de pareille tâche.

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Le Grand Livre – Avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ». 

Le Grand Livre, de Connie Willis

Ce roman de science-fiction de 1992 a collectionné les prix littéraires de SFFF (le Nebula, le Hugo, le Locus) et c’est normal. C’est un GRAND livre. Un chef-d’œuvre.

Connie Willis aime nous plonger dans des époques historiques proches ou lointaines, sans jamais nous infliger de cours magistral.

Sa fine équipe est composée d’archéologues et d’historiens. Grâce à une machine à voyager dans le temps et à une solide préparation de ses historiens pour ne pas causer d’impairs dans le passé, les membres de l’équipe peuvent ainsi atteindre à une époque précise et vérifier leurs théories, voire rapporter un objet de cette époque (mais cela fait plutôt l’objet du roman Sans parler du chien).

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Les Enfants de Tergaïa – Avis de lecture

Un avis de lecture de l’irascible Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ». 

On m’a collé ce livre dans les mains. J’en ai lu le titre : les Enfants de Tergaïa. Bon, les titres comme les quatrièmes de couverture, ç’a jamais été mon fort, alors j’ai ouvert le livre. J’en ai lu les deux premières pages, puis je l’ai feuilleté. Un paragraphe de-ci, de-là. Avec l’expérience, je pèse tout de suite un livre pour séparer le bon grain de l’ivraie. Pendant ce temps, on me le vendait en des termes qui ne m’atteignaient pas. Je l’ai tout de même emprunté, parce qu’on ne sait jamais. Puis je l’ai ouvert.

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