Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Quatrième de couverture :
Le culte de Mithra se propage dans les légions romaines des Alpes. Le vétéran Decimus Valerius n’a d’autre choix que de s’y initier et d’en apprendre les mystères pour devenir, un jour, centurion.
La nuit, Briana, fille cadette du proconsul de Rhétie, observe d’étranges étoiles qui filent vers le Mons Caeli. À force de ténacité et de persuasion, elle parvient à obtenir l’autorisation de s’y rendre sous l’escorte de Decimus. Les ordres donnés à ce dernier sont clairs : la jeune femme ne doit jamais atteindre son objectif.
Gurnt est rejeté par les jeunes guerriers de son village qui n’acceptent pas son étrange apparence féline. Il lutte contre une violence sourde qui lui ronge le cœur, fait bouillir son sang, enchaîne son âme et obscurcit son avenir…
Alors que le Mons Caeli paraît être le point d’orgue de toutes les ambitions et de tous les secrets, se pourrait-il qu’il en soit aussi l’origine ?
A titre personnel, j’ai été doublement curieuse de découvrir ce récit. Tout d’abord parce que j’ai toujours aimé la fantasy antique. Et ensuite, pour ce thème des chimères, car c’est un thème que j’aime aussi aborder en plus d’encadrer l’anthologie d’Arkuiris sur le thème « clones et chimères ».
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