Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Il y a quelque temps, je discutais de post-apo avec un ami. Lui me disait qu’il aimerait presque vivre dans un tel monde, parce que la hiérarchie sociale serait redistribuée et la valeur des gens serait évaluée selon leur compétence réelle et non selon leur argent. Je ne partageais pas cette vision et lui ai fait remarquer qu’en tant que femme, un monde sans foi ni loi ne me tentait guère. Nous étions tout de même d’accord sur un point : il ne faudrait pas grand-chose pour que notre monde bascule.
La lecture de La Parabole du semeur m’a confortée dans mes opinions.
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