Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Le tome 1 Feast of souls nous plonge dans un univers de fantasy qui affronte des périodes difficiles d’existence pour ses populations.
L’héroïne, Kamala, a été vendue, enfant, par sa mère aux réseaux de prostitution pour quelques pièces. Kamala a pourtant un don en elle, un pouvoir de guérison, comme les sorcières. Les sorciers sont des humains qui peuvent en échange de leurs énergies vitales modifier objet ou améliorer la santé d’autrui. Cependant, ce prix est lourd, voire mortel.
Mais ce n’est pas cette puissance-là que Kamala ambitionne. Si elle échappe à sa vie dans les rues et part trouver un maître, c’est qu’elle veut devenir Magister. La première femme de ce clan très fermé, dont les membres sont rares, d’autant que peu d’apprentis survivent à l’initiation. De toute façon, une femme ne peut pas être Magister, les femmes sont trop douces et trop faibles pour aller jusqu’au bout de la compromission qu’il faut atteindre pour parvenir à l’immortalité !
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