Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Quatrième de couverture :
Née sous une pluie sanglante, les larmes d’Ipacheta, la princesse Setun est vouée à une destinée hors du commun. Son père, le grand prêtre de la cité-pyramide Atasuyo, en est certain : son sacrifice mettra fin à la terrible malédiction qui s’abat sur le pays. Mais, guidée par une irrésistible soif de liberté et la certitude que son destin doit s’accomplir autrement, Setun s’enfuit à travers la jungle en compagnie de son fidèle loup blanc, d’un mystérieux petit garçon muet et d’une tayra dotée de la parole. Les larmes d’Ipacheta est un roman fantasy où civilisation précolombienne, animaux extraordinaires, nymphes, esprits et divinités se mêlent… et ne sont pas que des légendes.
Les récits francophones qui se déroulent en pays Maya ne sont pas nombreux. Celui écrit par Aurélie Genêt mêle à la fois une grande part de recherches sur les cultures précolombiennes, la faune et la flore (comme la tayra, petit animal) et de l’autre des éléments totalement imaginaires (comme le loup abricole, le fait que la tayra parle comme une grande sage, ou la légende des Larmes d’Ipacheta).
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