Un avis de Rachel Fleurotte. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »
Quatrième de couverture
Florence au tout début du XVI° siècle. Mais une Florence bien différente de celle dont nous parlent nos livres d’histoire : Léonard de Vinci a renoncé à la peinture pour donner vie aux machines qu’il dessinait dans ses carnets et l’Italie de la Renaissance connaît déjà sa révolution industrielle…
La perle de la Toscane reste cependant la ville des grands peintres, des grands architectes, des fêtes… et des intrigues sophistiquées, des morts mystérieuses.
Comme celle de l’assistant de Raphaël, puis de Raphaël lui-même. Qui est à l’origine de ces meurtres ? Pour quel enjeu ? Sur fond de rivalité entre l’Italie et l’Espagne et de rébellion fomentée par les disciples de Savonarole, Pasquale, jeune peintre apprenti, même l’enquête en compagnie de Machiavel, journaliste à la Gazette de Florence, qui joue les Sherlock Holmes avant la lettre…
Roman historique décalé traversé de personnages mythiques auxquels est redonnée une vie imprévue, roman policier mené tambour battant, roman d’apprentissage, métaphore subtile de quelques-unes des grandes questions qui agitent notre siècle finissant, Les Conjurés de Florence est digne de figurer à côté du Nom de la rose.
Et si le steampunk débutait au XVIème siècle ? C’est l’idée de ce roman où la Florence de la Renaissance a pris un visage très différent de celui qu’on lui connaît, depuis que Léonard de Vinci, renonçant à la peinture, a pris la tête de la guilde des artificiers qui dominent la ville.
Pour lire la suite de cet article, c’est par ici.