Chaque mois, un auteur d’Hydralune vous parle d’une de ses oeuvres.
Aujourd’hui, c’est Catherine Loiseau qui vous explique ses influences pour Kerys !
— Un univers steampunk
Alors que Ceux du mercure n’était encore qu’une vague idée, je travaillais sur un projet de fantasy assez sombre, à une période où les nouvelles venant de ma famille avaient plutôt tendance à être plutôt mauvaises qu’autre chose. Un jour, j’ai reçu un appel de ma mère qui m’annonçait encore une complication ; je me souviens avoir raccroché, avoir regardé mon écran et la scène que j’étais en train de corriger (une scène de torture assez brutale) et m’être dit : « bon, le prochain roman sera une comédie ».
À peu près à la même époque, j’ai commencé à écouter le groupe Abney Park et je suis tombée amoureuse de leur chanson Victorian Vigilante. J’ai commencé à coucher mes idées sur le papier et peu à peu, l’univers de Ceux du mercure a émergé.
Je voulais écrire une histoire steampunk, dans un univers qui m’était propre. L’Angleterre victorienne avait déjà été exploitée par beaucoup d’auteurs talentueux, j’avais envie d’autre chose, alors j’ai fait mes recherches.
Et pour en savoir plus sur cet article, c’est par ici.