Confidences d’auteurs

Nous sommes heureux de vous proposer une nouvelle série de confidences, sur la conception des couvertures de nos romans cette fois-ci. Nos auteurs sont revenus dans le temps afin de vous confier anecdotes et conseils sur cette étape finale et cruciale.

Ce mois de décembre, c’est Catherine Loiseau qui nous parle de ses couvertures !

Bonne lecture !

Les Jardins de la lune, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »

« Ah, mais si tu as aimé La Compagnie Noire, tu devrais aimer ça. Tiens. Très bonne traduction d’une petite maison. » Voilà comment je me suis trouvé en possession des Jardins de la lune, de Steven Erikson. L’auteur ouvre le récit par une mise en garde, affirmant qu’il est probable que le lecteur trop habitué au confort des récits qui le prennent par la main abandonne sa lecture au premier tiers de ces quelque 640 pages.

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Confidences d’auteurs

Nous sommes heureux de vous proposer une nouvelle série de confidences, sur la conception des couvertures de nos romans cette fois-ci. Nos auteurs sont revenus dans le temps afin de vous confier anecdotes et conseils sur cette étape finale et cruciale.

Ce mois de novembre, c’est Iphégore Ossenoire qui nous parle de ses couvertures !

Bonne lecture !

Mers mortes, avis de lecture

Un avis de lecture d’Audrey Aragnou. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »

Oural est exorciste.
Il apparaît pour la première fois dans le roman sur le bord d’une forteresse, scrutant l’horizon sableux qui autrefois était un rivage maritime. Sa mission est de repousser les âmes des animaux et poissons marins qui reviennent à chaque marée haute, pour hanter et détruire ce qui reste de l’humanité.
En effet, les mers et océans, sous l’effet du réchauffement climatique ont progressivement disparu et il ne reste que l’esprit furieux de ceux qui les ont habités.

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Confidences d’auteurs

Nous sommes heureux de vous proposer une nouvelle série de confidences, sur la conception des couvertures de nos romans cette fois-ci. Nos auteurs sont revenus dans le temps afin de vous confier anecdotes et conseils sur cette étape finale et cruciale.

Ce mois d’octobre, nous partons avec Rachel Fleurotte en Franche-Comté !

Bonne lecture !

Sortie de Pour une bulle d’air, d’Iphégore Ossenoire

Nous sommes heureux d’annoncer la sortie du nouveau roman d’Iphégore Ossenoire, Pour une bulle d’air, maintenant disponible dans notre boutique en versions numérique et papier !
Vous pouvez découvrir ce roman one-shot sur sa page catalogue .


Voici sa quatrième de couverture :

Pourra-t-on de nouveau respirer en France ?

Le pays est désormais aux mains des mafias, qui se partagent le pouvoir depuis la chute de la République.
Dans ce monde où l’argent est roi et la pollution, reine, Claire émerge de dix ans de stase avec la chance de tester un nouveau traitement pour ses poumons. Sa sœur, directrice de la sûreté d’une grande entreprise, prend les rênes du projet Aéropure. Son but : assainir la capitale, restaurer la qualité de l’air et raviver la flamme de l’espoir. Ses ennemis ? Elle les attend, l’arme au poing. Peut-être sont-ils parmi ses alliés, hackers de renoms que son patron lui impose, ou dans les derniers embauchés envoyés par les lobbies.
Parviendra-t-elle à triompher entre les piratages, les coups fourrés législatifs et les attaques à main armée ?

Iphégore Ossenoire livre là un roman de proche anticipation qui fait la part belle à l’action et aux mésusages du numérique. Une plongée dans le monde sombre et fantasque des geeks, à la croisée du cinéma et de la philosophie de vie.

Bonne lecture à vous !

Apprendre, si par bonheur, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Résumé
« Nous n’avons rien trouvé que vous pourrez vendre. Nous n’avons rien trouvé d’utile. Nous n’avons trouvé aucune planète qu’on puisse coloniser facilement ou sans dilemme moral, si c’est un but important. Nous n’avons rien satisfait que la curiosité, rien gagné que du savoir. » Un groupe de quatre astronautes partis explorer des planètes susceptibles d’abriter la vie : hommes et femmes, trans, asexuels, fragiles, déterminés, ouverts et humains, ils représentent la Terre dans sa complexité.

Mon avis
C’est un court roman dont j’ai beaucoup entendu parler. À l’occasion d’une promo, je me suis lancée et je ne suis pas déçue !

C’est un roman assez doux, même s’il a des éléments sombres : la Terre souffre du réchauffement climatique, la situation économique n’est pas bonne.
Malgré tout, j’ai trouvé que c’était un roman assez optimiste et surtout très humaniste.

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Horizon Obscur, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Il s’agit d’un récit de science-fiction militaire. On suit trois focales à tour de rôle.
Suite à une guerre sanglante, mais victorieuse contre un ennemi extra-terrestre, le traumatisme des victimes a poussé les autorités (et les industriels) à vouloir remplacer les soldats humains par des androïdes perfectionnés. L’action commence alors que s’étend cette démobilisation des troupes, avec le difficile retour à la vie « normale ».

On retrouve toutes les thématiques de la démobilisation : les traumatismes psychiques liés au combat, la perte de la fraternité vécue au sein des groupes, le retour à des vies « plan-plan », la difficulté de s’insérer socialement, le retour à une vie familiale qu’on vivait jusque là en pointillé, la perte du frisson et de l’adrénaline ou tout simplement de la passion pour son métier et pour un engagement au nom des valeurs de l’humanité.

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L’interdépendance T2 : Les flammes de l’Empire, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Résumé


C’était donc vrai : un premier courant du Flux vient de s’effondrer ; d’autres suivront.
Ces couloirs de voyage interstellaire qui irriguent l’Interdépendance, l’empire de l’humanité, sont appelés à disparaître l’un après l’autre, entraînant la sclérose et la mort des colonies humaines isolées, privées de ressources.
Passe qu’il reste des sceptiques pour ergoter, mais les dignitaires aux dents longues des grandes maisons commerciales trouvent là encore matière à comploter, et ce ne sont ni l’assassinat ni la guerre civile qui les arrêteront dans leur soif de pouvoir.
Dans ce contexte, la jeune emperox Griselda II paraît bien vulnérable. Qui est l’ami, qui l’ennemi ?
Mais à Machiavel Machiavel et demie…
Au demeurant, il y a une lueur dans le tunnel : des courants du Flux fermés depuis longtemps commenceraient à réapparaître.
Une expédition s’impose qui pourrait valoir aux hardis aventuriers de stupéfiantes révélations sur l’histoire de l’humanité dans les étoiles avant l’Interdépendance.

Mon avis

J’avais beaucoup aimé le premier tome de cette série, pour sa plume alerte, ses personnages attachants et son originalité.

On repart donc dans l’univers de l’interdépendance, qui est confronté à sa chute imminente. Sauf que, bien évidemment, tout le monde ne n’y croit pas, et que certains ont leurs intérêts personnels en tête.

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L’interdépendance T1 : L’effondrement de l’Empire, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Résumé
L’Interdépendance : un empire de quarante-huit systèmes stellaires presque tous inhospitaliers, où l’humanité s’est implantée et dont la survie repose sur une étroite collaboration. L’Interdépendance : un millénaire de règne des grandes familles marchandes, dont la première occupe le trône de l’emperox. L’Interdépendance : le réseau des courants du Flux, seul moyen de voyager plus vite que la lumière, unique lien des mondes de l’empire entre eux. Le Flux est éternel mais il n’est pas statique. S’il se déplaçait, réduisant les colonies à l’isolement, l’humanité serait au bord du gouffre. Un jeune scientifique, une commandante de vaisseau spatial et la toute nouvelle emperox devront affronter la catastrophe annoncée.

Mon avis
J’aime bien la plume de John Scalzi, je trouve que c’est un auteur qui arrive bien à marier l’humour avec les thématiques sérieuses, et ce roman n’y fait pas exception.

On a donc un univers SF, un empire humain, dont les planètes sont reliées par des courants, qui menacent de s’effondrer. On va suivre un trio de personnages.

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La tétralogie des Origines, avis de lecture

Un avis de lecture de Rachel Fleurotte. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Quatrième de couverture du tome 1 – Le château des millions d’années
Juin 1939.
Heinrich Himmler diligente une mission archéologique en Irak dans le but officieux de s’allier les populations locales afin de saper l’influence britannique et préparer l’avènement d’un nouvel ordre mondial…
Au sein de cette expédition qu’il dirige en sous-main, l’officier SS Friedrich Saxhäuser.
Héros de la Grande Guerre, agent naviguant dans les eaux troubles des divers services de renseignement du Reich, ce soldat hors normes a lié son destin à celui d’Adolf Hitler depuis le putsch manqué de Munich en 1923. Or, dans la vallée d’un affluent du Tigre, Saxhäuser met bientôt au jour l’impensable, une découverte si vertigineuse qu’elle pourrait bien changer la donne dans le conflit qui s’annonce… Mais encore faut-il pouvoir acheminer pareille trouvaille jusqu’en Allemagne. Et d’ailleurs, Saxhäuser le veut-il vraiment ?

Cette série de quatre romans est un de mes coups de coeur de ces dernières années. J’ai dévoré ses tomes les uns après les autres, emportée par un tourbillon addictif qui mêle action, science-fiction et Histoire.

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Les Maîtres enlumineurs, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Sancia, voleuse et ancienne esclave, est sur un gros coup : s’infiltrer grâce à son lien avec les objets dans la salle des coffres du guet maritime, pour rapporter un petit coffret à son commanditaire en échange d’une récompense colossale ! Promis, ce n’est pas un gabarit d’une nouvelle enluminure, trésor chèrement gardé par les maisons marchandes. Alors, franchement, comment une vieille babiole pourrait-elle être la clef de la pluie d’ennuis et de catastrophes ? Le contrat paraît donc juteux pour cette acrobate qui ne manque pas de détermination.


Le cadre semble assez original, avec un côté urbain et tropical, il y a une végétation envahissante, des insectes, de l’alcool de canne. Les noms des familles marchantes au pouvoir sonnent en revanche de façon italienne.

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The Deca Tapes, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Je suis une grande amatrice de podcasts, et au fil des recommandations, je suis tombée sur The Decatapes.

C’est une mini-série en 8 épisodes, qui met en scène 10 personnes, amnésiques, vivant dans un espace confiné de 8 pièces, et qui chacun a un rôle différent (la cuisinière, le jardinier, la professeure, etc).

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Les carnets des Hydres

L’entrée de janvier dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.

Pour ce premier mois de 2022, c’est Andréa Deslacs qui nous parle des guillemets et des tirets cadratin dans les dialogues !

Bonne lecture !

The case of Charles Dexter Ward, avis de lecture

Un avis de lecture de Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

En cette époque de l’année où les journées raccourcissent, je farfouillais dans la liste des drames de BBC 4 et un nom m’a attiré : Lovecraft. Je n’ai jamais lu les ouvrages, alors l’occasion a fait le larron et me voilà à lancer The case of Charles Dexter Ward, de la série The Lovecraft Investigations, bien calé dans mon canapé.

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Ghost Story, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Ceux qui me suivent sur YouTube ont sûrement vu ma chronique de Ghost Story de Peter Straub. J’en ai parlé d’un point de vue d’écrivaine, j’aimerais maintenant y revenir d’un point de vue de lectrice.

Ghost Story, c’est l’histoire de la petite ville de Millburn et de la Chowder society, un groupe créé par de vieux amis qui aiment se raconter des histoires de fantômes.

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Jardin d’hiver, avis de lecture

Un avis de lecture de Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Me voilà à déambuler dans la bibliothèque d’une cité lacustre, à la recherche d’un pictogramme sur les tranches des livres : une soucoupe volante stylisée, symbole retenu pour les ouvrages de science-fiction. C’est ainsi que j’ai trébuché sur Jardin d’hiver, d’Olivier Paquet, publié par L’Atalante. Ce qui retient mon attention ? Le récit se déroule en Europe.

D’un côté, le Consortium avec ses robots qui miment la vie animale, tantôt dociles et affectueux, tantôt avec un canon qui sort de la gueule et tue leur opposant. De l’autre, la Coop, agglomérat de groupuscules qui ont modifié les plantes pour en faire des armes terribles.

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