L’entrée de mars dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Pour ce troisième mois de 2022, c’est Rachel Fleurotte vous présente comment elle fait ses recherches documentaires !
Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Sancia, voleuse et ancienne esclave, est sur un gros coup : s’infiltrer grâce à son lien avec les objets dans la salle des coffres du guet maritime, pour rapporter un petit coffret à son commanditaire en échange d’une récompense colossale ! Promis, ce n’est pas un gabarit d’une nouvelle enluminure, trésor chèrement gardé par les maisons marchandes. Alors, franchement, comment une vieille babiole pourrait-elle être la clef de la pluie d’ennuis et de catastrophes ? Le contrat paraît donc juteux pour cette acrobate qui ne manque pas de détermination.
Le cadre semble assez original, avec un côté urbain et tropical, il y a une végétation envahissante, des insectes, de l’alcool de canne. Les noms des familles marchantes au pouvoir sonnent en revanche de façon italienne.
L’entrée de février dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Pour ce deuxième mois de 2022, c’est Catherine Loiseau qui vous conseille de faire des tests !
Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Je suis une grande amatrice de podcasts, et au fil des recommandations, je suis tombée sur The Decatapes.
C’est une mini-série en 8 épisodes, qui met en scène 10 personnes, amnésiques, vivant dans un espace confiné de 8 pièces, et qui chacun a un rôle différent (la cuisinière, le jardinier, la professeure, etc).
L’entrée de janvier dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Un avis de lecture de Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
En cette époque de l’année où les journées raccourcissent, je farfouillais dans la liste des drames de BBC 4 et un nom m’a attiré : Lovecraft. Je n’ai jamais lu les ouvrages, alors l’occasion a fait le larron et me voilà à lancer The case of Charles Dexter Ward, de la série The Lovecraft Investigations, bien calé dans mon canapé.
L’entrée de décembre dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Ceux qui me suivent sur YouTube ont sûrement vu ma chronique de Ghost Story de Peter Straub. J’en ai parlé d’un point de vue d’écrivaine, j’aimerais maintenant y revenir d’un point de vue de lectrice.
Ghost Story, c’est l’histoire de la petite ville de Millburn et de la Chowder society, un groupe créé par de vieux amis qui aiment se raconter des histoires de fantômes.
Un avis de lecture de Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Me voilà à déambuler dans la bibliothèque d’une cité lacustre, à la recherche d’un pictogramme sur les tranches des livres : une soucoupe volante stylisée, symbole retenu pour les ouvrages de science-fiction. C’est ainsi que j’ai trébuché sur Jardin d’hiver, d’Olivier Paquet, publié par L’Atalante. Ce qui retient mon attention ? Le récit se déroule en Europe.
D’un côté, le Consortium avec ses robots qui miment la vie animale, tantôt dociles et affectueux, tantôt avec un canon qui sort de la gueule et tue leur opposant. De l’autre, la Coop, agglomérat de groupuscules qui ont modifié les plantes pour en faire des armes terribles.
L’entrée d’octobre dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Un avis de lecture de Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Je l’avoue : je n’ai ouvert la bibliographie de Timothy Zahn qu’au moment d’écrire ces lignes. Je ne pensais pas qu’il comptait autant d’ouvrages à son actif, et ça démolit toute mon introduction. Bref, il est question du grand-papa du non moins grand amiral Thrawn, de son nom complet Mitth’raw’nuruodo. Entrons dans l’univers étendu de Star Wars.
L’univers étendu, ce sont toutes les œuvres dérivées, ici les romans, qui tournent autour de l’histoire des films, étendent et façonnent l’univers en essayant de garder une cohérence globale. C’est un peu comme un ensemble de fanfictions coordonnées par un éditeur et où, sauf en de rares occasions, il est interdit de nuire aux personnages principaux. Il y a du bon et du mauvais, et Timothy Zahn se classe dans les meilleurs.
L’entrée de septembre dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Pour ce mois de rentrée, c’est Andréa Deslacs qui nous éclaire sur la focale initiale !
Un avis de lecture de Rachel Fleurotte. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
“Que feriez-vous si vous aviez le pouvoir de pourrir la vie d’un inconnu en toute discrétion ? C’est le service que propose la Société des Anges, une société secrète réservée à l’élite.”
Le pitch de cette série littéraire, découverte sur l’application Rocambole, m’a intriguée et donné envie d’en savoir plus. A peine avais-je commencé le premier épisode que j’ai été happée par l’histoire, et incapable de m’arrêter avant de terminer les quinze épisodes qui la composent.
L’entrée d’août dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
L’entrée de juillet dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Cette fois-ci, c’est Audrey Aragnou qui nous parle du work in progress !
On suit donc Audrey, mariée à un homme violent, qui s’enfuit de chez elle avec ses filles et trouve refuge dans une grande demeure que sa sœur gère en l’absence de la propriétaire. Mais le répit est de courte durée, car très bientôt, des phénomènes étranges se mettent à survenir.
Et une nouvelle entrée dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Nous sommes donc dans une version uchronique de l’époque de Richelieu et du roi Louis XIII. Les dragons ont existé sur Terre, mais à part leurs descendants croisés avec les humains, ils n’existent plus de nos jours. En revanche, leur influence est très grande à la cour d’Espagne. Et la France est le seul pays qui n’a pas encore une loge draconique. Cependant si le cardinal a rappelé ses Lames depuis le fiasco à La Rochelle, pour quelle soudaine mission ?
Il s’agit d’un récit de cape et d’épée, très rythmé, avec plusieurs histoires qui se croisent pour se rejoindre aux ¾ du tome. On compte une douzaine de personnages principaux, avec leur passé, leur complexité, leurs mensonges, leurs objectifs, leurs non-dits. Le charmeur, la femme forte, le chef fédérateur jadis et bien silencieux actuellement, le preux, le mercenaire, le protecteur, l’ambitieux.
Et une nouvelle entrée dans les carnets des Hydres, où vous retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Cette fois-ci, c’est Andréa Deslacs qui partage un article sur l’amnésique, un personnage souvent croisé dans les romans.
Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Ah ! Fermer les yeux et retrouver les accents anglo-saxons. Ne plus avoir besoin de cet écran qui nous irradie toute la journée pour le travail. Juste souffler, se laisser emporter quand on est contraint à rester dans son appartement. Ainsi s’est glissé The Cipher dans mon programme. Il ne s’agit pas du livre ni du film à paraître, mais d’une œuvre originale commandée par BBC Sounds à Goldhawk Production, un studio qui a raflé plusieurs récompenses pour son travail. Scénarisé par Brett Neichin et Janina Matthewson, il puise dans de nombreux faits divers, anciens et très récents, pour concocter un thriller de science-fiction.
Aujourd’hui nous lançons une nouvelle rubrique du site, les carnets des Hydres ! Vous y retrouverez des conseils d’écriture, des avis sur les logiciels d’aide aux auteurs ainsi que des réflexions sur le quotidien d’écrivain.
Pour étrenner cette rubrique, c’est Rachel Fleurotte qui se lance avec un article sur l’application Rocambole.
Nous sommes heureux de vous proposer la deuxième édition du cycle Kerys avec ses nouvelles couvertures et maquettes !
Pour rappel, Kerysest une trilogie steampunk, à l’ambiance inspirée de la Belle Époque, avec ses élégantes dames, son architecture raffinée, sa capitale qui ne semble vivre que pour la fête. Mais ces brillantes lumières ne sauraient cacher les Abominations qui rodent, et que Lovecraft lui-même n’aurait pas reniées : Amorphes, Bêtes, Pantins, Masques, Ombres, Tentaculaires et Indicibles… Autant de menaces que les humains doivent affronter.
N’hésitez pas à découvrir ce cycle haut en couleurs !
Un avis de lecture de Stéphane Lesaffre. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
C’est un scandale. En 2020, l’année où l’on n’a quasiment pas eu l’occasion d’aller au restaurant, Arkuiris nous propose un ouvrage sur la gastronomie, plein de saveurs exquises, de critiques gastronomiques et de recettes inédites. De quoi nous faire regretter encore davantage les bonnes auberges où l’on avait nos habitudes et désespérer d’y retourner. Quelle faute de goût !
D’accord, cette entrée en matière n’avait guère d’intérêt. Mais par ce côté léger et moqueur, je voulais poser le ton général du livre. En effet, la manière de traiter le thème était ici avant tout de nous divertir. Souvent, les anthologies Arkuiris traitent de sujets graves et très actuels, nous amènent à réfléchir sur des problématiques de société. Ici… bien sûr, certains textes aborderont des sujets tels que la pénurie alimentaire ou l’extinction animale, mais dans l’ensemble, on est avant tout là pour passer un bon moment et apprécier les textes en fin gourmet. A ce sujet, l’avant-propos de Pierre Gévart, toute de truculence et de bons mots, pose le ton, de même que la très efficace couverture de Caza.
Un avis de lecture d’Audrey Aragnou. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
A Naples, Filippo Scalfaro n’a plus peur. Il est en effet revenu des Enfers et s’apprête à enfin accomplir sa vengeance.
Et de récit à la première personne du singulier, la bascule s’effectue à la 3ème personne, à l’époque où enfant, il cavalait derrière son père. Tout commence par la mort de Filippo, que Matteo, son père n’a pas pu empêcher. Le garçonnet a été assassiné sauvagement en 1980. Le texte alterne entre passé et présent où le revenant prend la parole pour dérouler l’étrange chronologie des faits qui ont amené à sa résurrection et à sa vengeance.
En ce 14 février, nous proposons un petit jeu aux amoureux des livres.
Petites novellas, recueils, oneshot ou gros pavés de séries, chez Hydralune, il y en a pour tous les goûts.
Notre collection s’est bien étoffée à présent. Sauriez-vous deviner le poids total de nos sorties depuis notre création ?
Celui qui sera le plus proche du résultat pourra gagner un livre papier dans notre collection.
Comme jouer ?
1/ Suivez les consignes, sur l’un des 3 réseaux sociaux d’Hydralune (Twitter, Facebook, Instagram) en commentant, partageant et suivant notre fils.
2/ Donnez votre estimation en grammes du poids de l’ensemble de nos parutions en version papier.
3/ Le concours prend fin le 28 février 2021 à 23h59.
4/ Sur chaque réseau social, la personne la plus proche de la bonne réponse, et qui aura respecté toutes les consignes, sera déclarant gagnante. Elle pourra choisir de recevoir le titre de son choix dans notre collection, en version papier. L’ouvrage sera envoyé gratuitement sous 10 jours par voie postale ou par le biais du réseau Mondial Relay.
5/ En cas d’égalité entre plusieurs participants qui auraient donné la même réponse, une question subsidiaire leur sera posée pour les départager.
6/ Sans remettre en cause les règles précitées, les organisateurs s’autorisent à rajouter des articles au règlement afin de palier à des impondérables, car les voies de l’univers sont impénétrables et sa balance affiche incongrument 42…
Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Quatrième de couverture : Née sous une pluie sanglante, les larmes d’Ipacheta, la princesse Setun est vouée à une destinée hors du commun. Son père, le grand prêtre de la cité-pyramide Atasuyo, en est certain : son sacrifice mettra fin à la terrible malédiction qui s’abat sur le pays. Mais, guidée par une irrésistible soif de liberté et la certitude que son destin doit s’accomplir autrement, Setun s’enfuit à travers la jungle en compagnie de son fidèle loup blanc, d’un mystérieux petit garçon muet et d’une tayra dotée de la parole. Les larmes d’Ipacheta est un roman fantasy où civilisation précolombienne, animaux extraordinaires, nymphes, esprits et divinités se mêlent… et ne sont pas que des légendes.
Les récits francophones qui se déroulent en pays Maya ne sont pas nombreux. Celui écrit par Aurélie Genêt mêle à la fois une grande part de recherches sur les cultures précolombiennes, la faune et la flore (comme la tayra, petit animal) et de l’autre des éléments totalement imaginaires (comme le loup abricole, le fait que la tayra parle comme une grande sage, ou la légende des Larmes d’Ipacheta).
L’invasion multine se poursuit et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Elle menace maintenant de fondre sur Atorn, la capitale des Régions.
Bien inconscient de ce danger, Akhyla se remet difficilement de ses blessures à Vach-Tyrel. Lui et ses compagnons cherchent déjà à fausser compagnie à ces Porteurs bien trop encombrants.
Enki, de retour à Arham les mains vides, redoute de subir réunions et humiliations, d’autant qu’on annonce la venue de celui qu’il doit appeler, à regret, maître. Toujours à jongler entre l’urgence de la situation et la mission de son Ordre,
Aedan doit maintenant composer avec ses hôtes récalcitrants. Et voilà qu’il se retrouve en plus propulsé, lui et ses alliés de circonstance, sous le feu des projecteurs.
Cependant, alors que tous attendent de croiser le fer devant Atorn, c’est une dangereuse danse diplomatique qui se met en place. Jetés sur un échiquier mortel, tous devront sortir le meilleur de leur jeu. Car si l’acier est le symbole de la cité, dans son ventre pourrait se trouver bien plus qu’une passe d’armes décisive.
Nous avons le plaisir d’annoncer la sortie du tome 3 du Soleil des hommes, La Danse de l’acier. Il est disponible en versions numérique dans notre boutique ! La version papier arrivera plus tard dans le mois, la chaine d’impression étant durement perturbée et les retards se multipliant. Vous pouvez découvrir la série sur la page catalogue du Soleil des hommes.
Voici la quatrième de couverture de ce tome :
Les Porteurs de guerre sont là.
L’invasion multine se poursuit et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Elle menace maintenant de fondre sur Atorn, la capitale des Régions.
Bien inconscient de ce danger, Akhyla se remet difficilement de ses blessures à Vach-Tyrel. Lui et ses compagnons cherchent déjà à fausser compagnie à ces Porteurs bien trop encombrants.
Enki, de retour à Arham les mains vides, redoute de subir réunions et humiliations, d’autant qu’on annonce la venue de celui qu’il doit appeler, à regret, maître. Toujours à jongler entre l’urgence de la situation et la mission de son Ordre,
Aedan doit maintenant composer avec ses hôtes récalcitrants. Et voilà qu’il se retrouve en plus propulsé, lui et ses alliés de circonstance, sous le feu des projecteurs.
Cependant, alors que tous attendent de croiser le fer devant Atorn, c’est une dangereuse danse diplomatique qui se met en place. Jetés sur un échiquier mortel, tous devront sortir le meilleur de leur jeu. Car si l’acier est le symbole de la cité, dans son ventre pourrait se trouver bien plus qu’une passe d’armes décisive.
Nous sommes heureux de vous proposer le livret bonus de la trilogie La Ligue des ténèbres, Dans les coulisses de la Tédesplen. Il est disponible en versions papier et numérique dans notre boutique. Vous pouvez découvrir ce bonus et la série de romans qu’il accompagne sur sur la page catalogue de la Ligue des ténèbres.
Voici la présentation de ce bonus :
Vous connaissez les pensées de Sam, mais qu’en est-il de ses compagnons? Comment ont-ils vécu les aventures de la Ligue?
Pourquoi le professeur Nutter court-il après le lapin blanc ? Comment Thomas a-t-il conçu le plan qui allait libérer sa sœur d’Eudaimonia ? Quel est l’art de la diversion de Ginger ? Les réponses à ces questions se trouvent dans les coulisses de la Tédesplen !
Découvrez pour chaque épisode une couverture, une aventure bonus du point de vue de Ginger, Tom ou du professeur, ainsi que quelques anecdotes sur la création des illustrations.
Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».
Quatrième de couverture : Le culte de Mithra se propage dans les légions romaines des Alpes. Le vétéran Decimus Valerius n’a d’autre choix que de s’y initier et d’en apprendre les mystères pour devenir, un jour, centurion. La nuit, Briana, fille cadette du proconsul de Rhétie, observe d’étranges étoiles qui filent vers le Mons Caeli. À force de ténacité et de persuasion, elle parvient à obtenir l’autorisation de s’y rendre sous l’escorte de Decimus. Les ordres donnés à ce dernier sont clairs : la jeune femme ne doit jamais atteindre son objectif. Gurnt est rejeté par les jeunes guerriers de son village qui n’acceptent pas son étrange apparence féline. Il lutte contre une violence sourde qui lui ronge le cœur, fait bouillir son sang, enchaîne son âme et obscurcit son avenir… Alors que le Mons Caeli paraît être le point d’orgue de toutes les ambitions et de tous les secrets, se pourrait-il qu’il en soit aussi l’origine ?
A titre personnel, j’ai été doublement curieuse de découvrir ce récit. Tout d’abord parce que j’ai toujours aimé la fantasy antique. Et ensuite, pour ce thème des chimères, car c’est un thème que j’aime aussi aborder en plus d’encadrer l’anthologie d’Arkuiris sur le thème « clones et chimères ».