Cité noire, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ». 

Il s’agit d’un premier roman de Charlotte Bona. La science-fiction n’est plus réservée aux auteurs masculins. Charlotte Bona apporte sa touche personnelle à ce genre, en basant son récit sur des personnages forts, en suivant une trame scénaristique solide et avec un fonds scientifique (sur le climat et les répercussions politiques et économiques) qui m’a impressionné. Il faut dire que je ne connais pas bien ce domaine, ni les organisations qui s’en occupent. On sent des recherches poussées dans le domaine.

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Le meurtre du Commandeur, avis de lecture

Un avis de lecture d’Audrey Aragnou. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ».

Une grotte, un homme dont le nom signifie « épargné par la couleur » , une clochette qui sonne la nuit sans que quiconque la fasse résonner, un homme sans visage qui exige qu’on exécute son portrait : l’univers de Murakami, dans Le meurtre du Commandeur est planté et nous embarque.

Abandonné par sa femme, le héros et narrateur, peintre et portraitiste, commence une errance étrange dans sa voiture, où peut-être ira-t-il « jusqu’à la lune », pour reprendre ses propres termes. Il finit par contacter un de ses amis qui lui prête la maison isolée de son père, en pleine montagne. Le père en question est peintre également, spécialiste d’une technique japonaise et en fin de vie, se trouve en maison de soins.

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Julie Limoges vous parle du Soleil des hommes

Les cinq parties de l’interview de Julie Limoges portant sur son cycle, le Soleil des hommes, sont à présent disponibles !

— Un monde privé de lumière
— Les différentes villes
— Humains et Multins
— La technologie
— Les personnages

Retrouvez l’intégralité de l’interview sur cette page !

L’Étoile de Pandore, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ».

Les livres arrivent souvent sur ma table de chevet à force de recommandations. En l’espèce, j’avais manqué un auteur monumental de la science-fiction : Peter F. Hamilton. Je me suis donc lancé dans le cycle de l’Étoile de Pandore, dont la version française est éditée par Milady/Bragelonne.

Je ne me risquerai pas à résumer quatre tomes qui pèsent entre 700 et 800 pages chacun ; disons que l’humanité a colonisé de très nombreuses planètes après avoir inventé un portail qui permet de se rendre d’un endroit à l’autre de la galaxie en peu de temps grâce à un réseau de trains. Cette humanité, devenue immortelle par le clonage et la transplantation de mémoires, mène une mission d’exploration sur un système qui semble muré derrière une barrière colossale. Quand ils s’en approchent, la barrière cède et l’ennemi qui se trouve derrière est révélé. Il va alors chercher à conquérir la galaxie. L’humanité affrontera ce défi avec tous ses travers et paiera cher chacun de ses défauts.

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Die with Style, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »

Résumé

Taylor remplace au pied levé une chanteuse de rock disparue sans crier gare, alors qu’une nouvelle menace, aux beaux yeux bleus et à l’accent so british, arrive en ville.

Mon avis

Comme pour le premier, j’ai découvert cet épisode sur Wattpad. J’en ai discuté avec Dorian, qui m’avait dit que j’allais être assez surprise, qu’il avait beaucoup changé. Effectivement, il a été pas mal retravaillé et en mieux.

À l’époque, je n’avais pas accroché à toutes les péripéties, certaines étaient tirées par les cheveux. Ici, ça s’enchaîne parfaitement, avec un joli « foreshadowing » comme disent les Anglais.
Le rythme est meilleur que pour le premier épisode, normal, les personnages sont présentés et on sent que l’histoire est lancée.

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L’éventreur de San Francisco, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis »

Résumé

Un tueur en série sévit à San Francisco. Rien ne l’inquiète : ni la loi, ni les remords. Malheureusement pour lui, Taylor, une sorcière au passé trouble et au caractère de feu, décide de s’en mêler…

Mon avis

J’ai découvert cette série, et la plume de Dorian Lake, sur Wattpad, que je fréquentais alors assez assidûment. J’avais été séduite par les aventures de cette sorcière, que je retrouve donc en format papier chez Noir d’Absinthe.

On suit donc Taylor, jeune sorcière au passé trouble, qui vit à San Francisco. Autour d’elle gravite une galerie de personnages : sa cousine flic, son oncle ancien flic, déchu suite à une sombre affaire, Sienna, garçonne lesbienne qui a piqué l’intérêt de Taylor, Lionel, un mystérieux vampire.
J’ai retrouvé ce qui m’avait séduit sur Wattpad : une belle galerie de personnages. J’aime ce côté choral de l’œuvre et le fait qu’on suive plusieurs lignes narratives qui s’entrecroisent.

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Musiques d’Outre-mondes, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ». 

Le thème de la musique m’a toujours été cher, je donne souvent une belle place dans mes histoires à des peintres ou à des musiciens. J’écris en plus mes textes avec en arrière fond des compositions instrumentales. C’est donc avec plaisir que j’ai plongé dans la découverte de cette anthologie publiée aux éditions Arkuiris, à la superbe couverture.

* Le premier texte « Une voix pour l’éternité » de Stéphane Dovert nous présente un mélomane, possesseur de milliers de disques. L’homme vient d’acheter une autobiographie de Berlioz. Dans ses mémoires, le compositeur confie la fascination et la passion que lui procurait la voix d’une cantatrice de l’époque.

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Thrawn, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous :  « autant de têtes, autant d’avis ».

S’il est un auteur qui a empreint mon imaginaire d’une légende, c’est bien Timothy Zahn avec sa saga de Thrawn. Dans l’univers de Star Wars, après la victoire de l’Alliance, ce non-humain est à la tête de ce qui reste de l’armée impériale. De quoi poser question quand on sait celle-ci xénophobe conformément à la pensée de l’Empereur. Tout au plus savait-on que, dans la Bordure extérieure, la race des Chiss est à l’origine de légendes militaires où ce peuple est imbattable et cruel vis-à-vis de ses ennemis.

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Dans l’ombre des miroirs, avis de lecture

Un avis de lecture d’Anna Combelles, amie des Hydres

L’HISTOIRE

Quand des assassins se mêlent de politique, ça part toujours en sucette…

MON AVIS

J’ai rencontré Marge avant la sortie du livre, lors d’une convention de grenouilles (oui, du site Cocyclics, je vous en ai déjà parlé…) et elle m’a raconté un peu ce roman et ces personnages, notamment de Néve.
Aussi, lorsque la sortie a été annoncée, aux éditions 1115, en février dernier, j’ai précommandé le livre. Je savais que je verrais Marge aux imaginales, je pensais le lire avant… sauf que je suis très très en retard sur mes lectures et articles. (Si ma muse m’entends, tu pourrais patienter un peu avant de m’envoyer d’autres idées ?)

ÉPÉE, CAPE, SANS MOUSQUETAIRES

Cette aventure fantasy surfe avec les codes des romans de cape et d’épée de notre cher A Dumas, ou encore de P Pevel, mais ajoute des êtres typiques de la fantasy, comme des orcs et autres monstres aux dents ou oreilles pointues.
Le résumé ne le laisse pas présager, les premiers chapitres non plus. Mais c’est amené avec un talent de conteuse, touche par touche. Ces bestioles prennent leur place sans perturber la narration, sans choquer le lecteur, contrairement à certains personnages qui les rencontrent de façon plutôt… percutante.

Leur présence est moindre, le livre se concentrant sur d’autres protagonistes. Les premiers rôles sont tenus par un assassin beau et talentueux, son ami mercenaire (ancien assassin) au cœur gros, un baron aussi à l’aise dans la haute société que dans les ruelles enténébrées, un roi manchot, et Néve, l’une des rares femmes de l’histoire.

Je ne cite pas les deuxièmes rôles, volontairement, mais vous avez déjà un aperçu de la richesse du livre, en termes de caractère.

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La Trilogie Magister, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Le tome 1 Feast of souls nous plonge dans un univers de fantasy qui affronte des périodes difficiles d’existence pour ses populations.

L’héroïne, Kamala, a été vendue, enfant, par sa mère aux réseaux de prostitution pour quelques pièces. Kamala a pourtant un don en elle, un pouvoir de guérison, comme les sorcières. Les sorciers sont des humains qui peuvent en échange de leurs énergies vitales modifier objet ou améliorer la santé d’autrui. Cependant, ce prix est lourd, voire mortel.
Mais ce n’est pas cette puissance-là que Kamala ambitionne. Si elle échappe à sa vie dans les rues et part trouver un maître, c’est qu’elle veut devenir Magister. La première femme de ce clan très fermé, dont les membres sont rares, d’autant que peu d’apprentis survivent à l’initiation. De toute façon, une femme ne peut pas être Magister, les femmes sont trop douces et trop faibles pour aller jusqu’au bout de la compromission qu’il faut atteindre pour parvenir à l’immortalité !

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La Justice…, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Les éditions Arkuiris proposent, au travers de seize nouvelles, une anthologie sur la justice. Qu’elle soit divine, humaine, ou robotique, qu’elle vise à défendre les innocents ou au contraire, protéger les puissants, qu’elle soit juste ou qu’elle se fourvoie, découvrons donc comment les auteurs la voient.

Ugo Bellagamba, Le Cœur et la plume 
Nouvelle assez douce et mélancolique qui ouvre le recueil, le thème est la justice de Mât, selon les Égyptiens, et un vieil homme fait le point sur ce qu’a été sa vie. C’est une bonne entrée en matière, je trouve.

Alain Rozembaum, La face obscure de Mercure 
J’ai beaucoup aimé l’univers SF et la représentation de la justice comme une force absurde, le texte m’a paru par contre un peu trop court pour utiliser au max son concept.

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Locke and Key, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Locke and Key est une série de comics en 6 volumes, écrite par Joe Hill et dessinée par Gabriel Rodriguez. Elle se déroule dans la ville fictionnelle de Lovecraft, dans le Massachusetts. On y suit les aventures de Tyler, Kinsey et Bode, et leur mère Nina Locke, qui reviennent dans Keyhouse, la maison familiale de Lovecraft, suite au meurtre de leur père aux mains d’un déséquilibré.
La maison est immense et étrange, et rapidement, Bode découvre d’étranges clés, qui chacune détiennent un pouvoir. À l’insu de son frère et de sa sœur, il se lie aussi d’amitié avec une mystérieuse femme en noir qui habite au fond du puits de la maison…

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Sortie de Ceux du dehors , de Catherine Loiseau

Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie du deuxième tome de la série Kerys, Ceux du dehors, de Catherine Loiseau. Il est disponible en versions papier et numérique dans notre boutique.

Voici la quatrième de couverture de ce deuxième tome :

Plus de six mois ont passé depuis la victoire des humains sur les Abominations et la clôture de toutes les failles.

Kerys goûte la paix retrouvée ; Honoré Rocheclaire et Artémise Bouquet convolent en justes noces. La fête sera courte : le moment est venu de secourir Érika Zhaan, retenue prisonnière dans une faille à proximité de Sainte-Victoire. Au cours de leur incursion en territoire ennemi, les mercuriens découvrent l’ampleur de la menace. Les Abominations n’ont pas décidé de passer leur chemin, au contraire, elles semblent avoir trouvé un appui inattendu chez certains humains : les individualistes. Ces nouveaux alliés semblent avoir pour but d’abattre à la fois le gouvernement et les brigades du mercure.

Face à ces menaces, Honoré, Artémise, Erika et les mercuriens vont devoir rivaliser d’ingéniosité et courage…

Bonne lecture !

Sortie de De plumes et de cendres, d’Andréa Deslacs

Nous sommes heureux de vous annoncer la sortie du deuxième arc de la série Heaven Forest, Les Autres de Darkwood, avec De plumes et de cendres, disponible en versions papier et numérique dans notre boutique.

Voici la quatrième de couverture de ce premier tome :

Le Cerf est mort, vive le Cerf !

Ce n’est un secret pour personne : ces derniers temps, le Cerf n’a plus vraiment la tête sur les épaules. Quelle solution la Grande Forêt va-t-elle trouver, le temps de découvrir un successeur, bon œil bon pied, pour porter sa voix ?

Entre la tragique disparition de Monsieur, l’installation des nouveaux précepteurs, les dernières lubies de Lisbeth, la venue à l’aube de l’inspecteur Rhys Overlake, le retour du Dragon à Darkwood, toute la maison des Other est en émoi. Et dire que demain est jour de cendres et de pleurs…

Les Sanctifiés et les Sacrifiés ne comptent pas laisser les Anges profiter du chaos qui s’abat sur la ville. Seulement, qui aura la main sur la situation ? Que cela soit près des ateliers sur les canaux ou dans l’un des quartiers bourgeois de la ville, au coin d’une rue du centre ou dans une maison d’artiste, ni le gang du Léviathan ni le clan des elfes de Kaya ne comptent laisser des plumes dans cette histoire.

C’est que depuis la mort d’Else Other, l’ombre des Autres plane sur Heaven Forest…

Bonne découverte !

Le tour de l’univers en 10 puissance – 43 seconde, avis de lecture

Un avis de lecture d’Anna Combelles, amie des Hydres

Taxi ! Taxi, emmène-nous dans l’univers… Voilà une des scènes décalées de ce roman SF humoristique : le Tour de l’univers en 10 puissance -43 seconde de Manu Breysse.

Quatrième de couverture :

Sareth est Pharaon sur une planète perdue a l’extrémité d’un bras de la Voie lactée. Alors qu’il y fait régner un despotisme pur et dur, il est accidentellement téléporte au centre de la galaxie. Perdu, désempare, incrédule, Sareth va se réfugier dans la plus célèbre bibliothèque de la ville pour tenter de comprendre ce qui lui arrive. Mais sur le point de découvrir le sens de la vie, celui-ci disparaît sous ses yeux…
Venez découvrir Sareth et ses compagnons dans leur folle quête pour trouver le sens de la vie ! Quête contre laquelle l’univers lui-même semble les mettre en garde ! Vers a strablot, méduses galactiques, créatures pandimensionnelles, humains… C’est accompagne d’un alcoolique, de son psy et de la fille en pleine crise d’adolescence de ce dernier que Sareth va affronter les dangers d’un univers affligeant d’absurdités, et qui n’a d’autre but que de faire de la vie une chose rare et précieuse !”

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Le magasin des suicides, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

On m’a dit : « c’est génial, je l’ai lu d’une traite ! » J’en ai déduit que ce serait écrit très simplement, et que ce serait l’occasion d’une pause dans la plume recherchée, celle qui touille notre langue pour en extraire un jus savoureux. Que voulez-vous, on ne se refait pas !

Le Magasin des suicides est un lieu tenu depuis des générations par la même famille. Vous n’y trouverez que des articles de qualité pour ne pas manquer votre dernier coup. Mais voilà, sur un préservatif poreux, le troisième enfant s’en vient, et il est raté : Alan est d’une heureuse et indéfectible innocence. Son frère est en proie à des migraines permanentes et tiendrait sans effort un rôle de tueur en série au hachoir ; sa sœur ne supporte pas sa propre apparence et aimerait bien se suicider, mais c’est impossible dans cette famille, car qui servirait alors les clients ?

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Les bulles du diable, avis de lecture

Un avis de lecture d’Anna Combelles, amie des Hydres

Et si une vie extra-terrestre apparaissait demain, sous la forme de grosses boules bleues, comment réagiriez-vous ? C’est l’une des questions posées par Yann Quero dans ce roman (jeunesse) SF : Les bulles du diable.

Quatrième de couverture :

Au XXIe siècle, des boules bleues de la taille d’un terrain de football sont apparues à la surface de la Terre. D’origine inconnue, elles sont demeurées inertes, tout en étant protégées par un champ de force détruisant ce qui s’en approchait.
Des années plus tard, ces « Bulles du Diable » sont considérées comme les responsables de l’effondrement mondial. C’est du moins ce que pensent les survivants aux États-Unis : communautés rurales, extrémistes religieux, reliquats de l’armée, tribus indiennes…
Suite à la destruction de la bourgade où il vivait près de l’ancienne cité de Las Vegas, le jeune Tim âgé de quinze ans est obligé de traverser l’Amérique avec sa mère et son demi-frère…

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La cité des livres qui rêvent, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Résumé :
« Ici commence l’histoire. Elle raconte comment je suis entré en possession du “Livre sanglant”, comment j’ai atteint l’Orm. Cette histoire n’est pas destinée aux lecteurs au cuir tendre et aux nerfs fragiles – à qui je recommande d’emblée de reposer cet ouvrage. (…)
Oui, je parle d’un pays où la lecture peut rendre fou. Où les livres risquent de blesser, d’empoisonner, et même de tuer. Seul celui qui est prêt à accepter le risque de me lire, à mettre sa vie en jeu pour avoir sa part de mon histoire, doit me suivre jusqu’au prochain paragraphe. (…)
Mais ne perdons plus de temps et entamons notre périple. Car il s’agit bien d’un voyage qui nous mènera à Bouquinbourg, la Cité des “livres qui rêvent”. »
Le récit fantastique, onirique et horrifique d’Hildegunst Taillemythes, jeune dragon et poète qui bravera tous les dangers des catacombes de Bouquinbourg, hantée par le Roi des ombres, pour retrouver l’auteur du manuscrit « parfait ».

Une amie fan de littérature et surtout de fantasy m’a, il y a quelque temps, fourré ce livre entre les mains en me disant « tiens, il faut absolument que tu lises ça ». J’ai donc obéi, et je n’ai pas regretté ma lecture. !

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Trois êtres d’exception, avis de lecture

Un avis de lecture d’Anna Combelles, amie des Hydres

Les Saigneurs œuvrent pour ranimer leur dieu et enclenchent la septième prophétie. Mais ces “méchants” le sont-ils vraiment ? Ne sont-ils pas excusables ? A vous de le déterminer à travers l’aventure fantasy écrite par Rachel Fleurotte : Trois êtres d’exception, premier tome de la série La septième prophétie.

 
Quatrième de couverture :

Sept prophéties ont été énoncées : six se sont réalisées et la septième, la plus obscure, prend tout son sens quand une bande d’esclaves révoltés ressurgit du désert où tout le monde les croyait morts depuis cinq ans. Sous le nom de Saigneurs des Ténèbres, Ranxor et ses hommes sèment la mort et la terreur dans toutes les provinces du continent d’Ipiros, et rien ni personne ne semble pouvoir les arrêter.
Malgré la peur, ici et là, quelques personnes décident d’agir à leur façon, Aldébaran, le Commandeur d’une des plus grandes provinces, Orlanne, une jeune noble, et l’Égale, une mystérieuse jeune femme accompagnée de quelques amis. Sur les routes ou par les fleuves, tous convergent vers le même but, retrouver Ranxor et le tuer.

Au cœur même de Ranxora, la cité des Saigneurs des Ténèbres, Gwenda, Martus et Heta, prisonniers, tentent de garder espoir et de trouver le moyen de se libérer enfin du joug de leurs ennemis.
Ranxor a entendu parler de l’Égale, qui prêche ouvertement la révolte contre lui et ses hommes. Curieux de découvrir qui elle est, il ordonne de la capturer, alors que Venin, sa sœur, essaie de le convaincre de la nécessité de la tuer.
Qui ressortira vainqueur des affrontements qui s’annoncent ?

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Altered Carbon, avis de visionnage

Un avis de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Il y a quelques années, j’ai découvert le livre Carbone Modifié de Richard Morgan. J’avais beaucoup aimé, aussi, quand j’ai vu que Netflix adaptait le roman, j’étais plutôt contente (pour l’instant, entre Jessica Jones, Stranger Things et Dark, j’ai plutôt été séduite par les productions Netflix). Verdict donc.

Pour rappel, Altered Carbon (ou Carbone modifié en français) se déroule dans le futur, où l’humanité a découvert, grâce à ce fameux carbone modifié, la technologie pour stocker la conscience humaine. Chaque personne reçoit une pile corticale qui « enregistre » sa conscience, qui peut alors être transférée d’un corps à un autre.
Nous suivons les pas de Takeshi Kovacs, ancien diplo (sorte de black op futuriste) et révolutionnaire Quelliste, qui a été mis en stockage suite à une révolte qui a mal tourné. Kovacs est sorti de stockage par Laurens Bancroft, un « Math », diminutif de Mathusalem, comprenez un homme tellement riche qu’il peut sauvegarder sa conscience et cloner son corps à l’infini et que donc il est pratiquement immortel.
Seulement, quelqu’un a tué Laurens Bancroft juste avant sa sauvegarde, lui faisant donc perdre 48 h de sa vie. Tout le monde soutient que Bancroft s’est suicidé, mais lui maintient qu’on l’a assassiné. Il engage donc Takeshi Kovacs pour enquêter sur cette affaire…

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Légendes des contrées oubliées, avis de lecture

Un avis de lecture de Julie Limoges. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Le roi Nain est mort. Trois jeunes guerriers partent à la recherche d’un nouveau souverain. En chemin, ils sont rejoints par Firfin le vagabond et Morkaï le barbare. De la ville de Gaëdor à la gorge des Vents Brûlants, du pays des Songes au Pic de la mer, leur quête les mène en des terres oubliées des hommes. Sur leur passage, ils réveillent la haine ancestrale qui autrefois divisa les Puissances, et transforment ainsi leur odyssée en légende !

Je vais aujourd’hui vous parler d’une bande dessinée datant de la fin des années 80. Légende des contrées oubliées est une série d’héroic fantasy en trois tomes, scénarisée par Bruno Chevalier et dessinée par Thierry Ségur. Le premier tome (La Saison des cendres) est sorti en 1987, le deuxième (Le Pays des songes) en 1989 et le dernier (Le sang des rois) en 1992.
La série fait partie des brouettes de bandes dessinées que j’ai lues dès que j’ai été en âge de comprendre que les dessins sur les pages avaient vocation à autre chose qu’à faire jolis, comme raconter des histoires. Alors, pourquoi l’avoir choisi pour être présenté dans cette chronique ?
Déjà, il s’agit d’une des premières bandes dessinées que j’ai lues avec la Quête de l’oiseau du temps et Valérian. Ensuite, elle a grandement influencé ma manière de construire mes récits et mes personnages. Enfin, je trouve que ce petit bijou étonnant n’a pas eu la mise en avant qu’il méritait.

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L’océan au bout du chemin, avis de lecture

Un avis de lecture d’Audrey Aragnou. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Tout commence par un retour : le narrateur, qui revient près de la maison où il a passé son enfance. Sans savoir pourquoi, il prend un chemin de terre qui le mène à une ferme où l’accueille la vieille Mme Hempstock. Il demande alors des nouvelles de Lettie, la petite fille qu’il a connue enfant, partie en Australie, et éprouve le besoin de réfléchir au bord de la mare.
C’est là que l’année de ses sept ans remonte à la surface.
Ses parents, qui n’avaient plus les moyens de payer la maison décident de louer sa chambre à un prospecteur d’opales, qui commence par écraser le chaton de l’enfant. Il rencontre à ce moment sa petite voisine, Lettie, de la famille des Hempstock. Trois femmes, qui vivent sans hommes, et qui se souviennent du « moment où la lune a été fabriquée ». Lointain écho des Parques antiques, elles ont la faculté, lorsqu’elles découpent un morceau de tissu dans une robe de chambre et qu’elles la raccommodent, d’enlever un morceau du temps et de modifier le cours des événements.

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Meurtres en Abondance, avis de lecture

Un avis de lecture d’Iphégore Ossenoire. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Pour une fois, la neige est arrivée à l’heure ! Autant dire que depuis mi-décembre, mes lectures n’avancent guère. D’où-que-donc-par-conséquent-de-quoi je vais vous parler d’une BD, le genre de lecture qui sied au retour du ski, quand, le corps engourdi et le cerveau brumeux, on n’aspire qu’à rêvasser au coin du feu.

Fanfoué (le François à la sauce savoyarde), c’est un incontournable du folklore local. C’est lui qui vous accueille dans les pâturages pour expliquer aux monchus qu’on ne s’approche pas d’un patou qui aboie, et qu’on contourne les troupeaux. C’est lui et ses pin-up qu’on retrouve souvent sur les affiches des grands évènements du cru. Bref, Fanfoué, c’est notre grand-père à tous !

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Sortie de Les Héritiers de l’horloger, d’Andréa Deslacs

Nous sommes heureux de vous proposer une novella en téléchargement gratuit pour fêter cette nouvelle année ! Il s’agit de Les Héritiers de l’horloger, d’Andréa Deslacs.

Voici sa quatrième de couverture :

Kyle et Wilson, fils de l’un des plus grands horlogers de Darkwood, ont été spoliés injustement de leur héritage.
Armes au poing, matériel de cambriolage en bandoulière, les voilà prêts à pénétrer dans la demeure familiale abandonnée. Là où le plus jeune des frères n’est que colère, l’aîné est nostalgie. Quant à l’aventure, elle s’annonce risquée. Où cette quête revancharde sur les terres de leur passé les mènera-t-elle ?

Les Récits d’Un Autre monde se déroulent dans le même univers que Heaven Forest, tout en restant indépendants. Après avoir voyagé jusqu’au Nouveau Monde dans La Fièvre de l’or rouge, nous revenons à Darkwood avec Les Héritiers de l’horloger, une nouvelle saupoudrée d’un soupçon de steampunk et d’uchronie.

Heaven Forest est un cycle de gaslamp fantasy dont la trilogie du premier arc est déjà disponible chez Hydralune, et dont le second arc s’ouvrira en 2018.

Andréa Deslacs est une auteure marseillaise, diplômée de la faculté de médecine avec une thèse de science-fiction. Elle a déjà été publiée pour de nombreuses nouvelles dans le domaine de l’imaginaire et a été primée pour l’un de ses textes au prix Visions du Futur 2017.

Vous pourrez retrouver et télécharger gratuitement cette novella ici.

Bonne lecture !

La Panse, avis de lecture

Un avis de lecture de Catherine Loiseau. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Bastien Regnault part à la recherche de Diane, sa sœur jumelle, dont la famille n’a plus de nouvelles depuis plusieurs mois. Des indices convergents le mènent très vite à la Défense. Le quartier d’affaires, chargé d’histoire, va, petit à petit, se dévoiler à lui, lui révélant un monde inconnu et souterrain, où, semble-t-il, officie une mystérieuse et très ancienne société secrète : la Panse.

Une de mes amies qui connaît bien mes goûts en lecture m’a offert ce livre pour mon anniversaire. Ça tombait bien, parce que j’avais déjà découvert la plume de Léo Henry à travers quelques nouvelles et que j’avais envie de tester un de ces romans.

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Saga, avis de lecture

Un avis de lecture de Julie Limoges. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Une planète, Clivage, perdue dans la lumière froide d’une galaxie mourante. Sur ce monde en guerre, la vie vient d’éclore. Deux amants que tout oppose, Alana et Marko, donnent naissance à Hazel, un symbole d’espoir pour leurs peuples respectifs. L’espoir, une idée fragile qui devra s’extraire du chaos de Clivage pour grandir, s’épanouir et conquérir l’immensité du cosmos.

Après une chronique sur Dômu (manga) et sur Les lumières de Lamalou (bande dessinée), il était logique que je me penche sur un comics ! C’est chose faite avec Saga, une série américaine de comic books créée par Brian K. Vaughan au scénario et Fiona Staples au dessin.

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Quatre enquêtes d’Erem de l’Ellipse, avis de lecture

Un avis de lecture d’Andréa Deslacs. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

J’ai connu Anthony Boulanger grâce à Etherval, j’ai lu plusieurs de ses nouvelles, mais je n’ai pas encore eu l’occasion de découvrir ses romans, pourtant saluer par la critique. Ce recueil a attiré mon attention, car lors de sa nouvelle sélection à Etherval, Anthony Boulanger m’a fascinée avec son récit policier de science-fantasy reptilienne « Morts programmées ». J’avais donc hâte de le revoir à l’œuvre à travers d’autres enquêtes.

Au niveau de l’univers ici développé, on a une envie irrésistible d’en savoir plus, signe d’un univers cohérent et aussi mystérieux qu’intrigant. Les codes de cette nouvelle société s’apprennent rapidement avec la première nouvelle et la 2e offre de précieux détails pour saisir la 4e, qui a été couronnée d’un prix.

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Planète 7, avis de lecture

Un avis de lecture de AF Lune. Souvenez-vous : « autant de têtes, autant d’avis ».

Ainsi donc après le septième guerrier, ma deuxième chronique concernera encore le chiffre 7 avec Planète 7. Le titre pourrait vous faire penser à « voyage vers la septième planète », très bon film de Sydney Pink de 1962, mais vous vous tromperiez. En premier lieu, parce qu’il nous emmène au-delà de notre système solaire, mais aussi parce que ce dernier contient plus qu’une simple histoire : ce roman peut se lire de plusieurs façons.

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